Créateur de robes et de bijoux, collectionneur de pierres et d’œuvres d’art.
Mécène, producteur d’événements et initiateur de tendances.
Erik Schaix s’attache avant tout à transmettre l’esprit du beau et du luxe sous toutes ses formes…
Bon dessinateur, dès qu’il a un moment de libre, il fait une profusion de croquis où il invente robes, bijoux et accessoires, pour n’en retenir qu’un ou deux qu’il travaille jusqu’à la réalisation finale.
Il n’y a qu’à voir les vitrines de la rue Saint- Florentin pour se convaincre de son talent et de sa richesse créatrice.
Pour lui, rien n’est impossible, rien n’est irréalisable : toute difficulté a sa solution.
Ce designer n’en finit pas d’étonner toutes celles qui lui font confiance depuis tant d’années et depuis ses débuts.
Sa franchise et son franc-parler sans flatterie, sans esprit courtisan, plaît à ses clientes.
Il n’a jamais dérogé aux objectifs qu’il s’était fixé ni cédé à la facilité.
Règle de vie à laquelle il s’est tenu, de ses débuts à ce jour. Très fidèle en amitié, généreux et altruiste, sans calcul et sans intérêt.
Il ne doit la réussite de son parcours qu’à lui-même.
Dans la Mode depuis 1976. Erik Schaix s’est installé 6 rue saint Florentin à Paris en 1986, où il dessine et crée deux collections de robes et d’accessoires chaque année. Elles sont vendues en sur mesure dans son magasin, à partir de mille cinq cents euros. Vous pouvez prendre rendez-vous sur le site pour faire réaliser un vêtement ou un accessoire…
Après des années de collaboration avec un ami bijoutier, Erik Schaix décide d’ouvrir en 2005 un département de joaillerie dans ses bureaux de la rue Saint Florentin. En joaillerie comme en couture son point fort est le « sur-mesure ». Avec votre budget il réalise tous vos souhaits. Laissez-nous un message sur le site.
En 2000 à la vente aux enchères du Château de Versailles, Erik Schaix s’est porté acquéreur de coupes de bois. Ceux-ci étaient une partie des arbres plantés par les rois et reines de France tombés pendant la tempête de 1999. Il les a confiés à 20 artistes français, sculpteurs, peintres et joailliers, afin de faire revivre ces géants aujourd’hui disparus.
Cette collection deux ans plus tard a donné lieu à une exposition au Château de Versailles aux orangeries de Trianon. Trente mille personnes sont venues la visiter, elle a fait l’objet d’une couverture médiatique internationale. L’exposition ont continué au musée de Wesserling en Alsace, du Bois et de la Forêt à Dompierre les Ormes, de la Marqueterie à Revelle, au Couvent des Cordeliers à Provins suivi du Ministère des Finances à Paris.